Cet établissement est le seul au Japon à prendre en charge les détenus souffrant d'addiction à l'éjaculation. Ces détenus sont ceux dont les désirs sexuels excessifs perturbent leur quotidien. Voici le récit de trois ans de la belle gardienne O, qui y travaille, depuis sa première recrue jusqu'à aujourd'hui. « Je fournirai moi-même des services sexuels aux détenues », dit-elle, conservant une attitude professionnelle qui ne révèle jamais ses émotions pendant son service. Face aux détenues incapables de contrôler leurs désirs sexuels impulsifs, les gardiennes pratiquent le sexe en cowgirl avec elles, avec froideur et condescendance, et leurs expressions restent constantes, même lorsqu'elles jouissent à leur guise, notamment par pénétrations soudaines, va-et-vient et doigtés. Même lorsqu'elles atteignent l'orgasme, leurs expressions sont invisibles. Au lieu d'émettre des sons lorsqu'elles ressentent du plaisir, elles sifflent.