J'ai rejoint l'entreprise en tant que jeune diplômée, mais il s'est avéré qu'il s'agissait d'une « entreprise noire » où les nouvelles employées démissionnaient les unes après les autres… J'avais du mal à me souvenir de mon travail, alors au lieu de compter sur les employés masculins pour m'aider, j'ai fini par jouer les « travailleuses du sexe » qui jouaient avec mon corps. Il a profité de mes faiblesses pour me forcer à lui faire une fellation, et j'ai accidentellement recraché le sperme qu'il avait giclé dans ma gorge, le mettant en rage. Dans un accès de rage, il s'est introduit de force en moi, à vif, et tandis que je criais de surprise, j'ai été violée et humiliée, le faisant jouir encore et encore. À partir de ce jour, mon baptême du viol m'a amenée à devenir une « masturbatrice » offrant ma chatte pour survivre dans cette entreprise. Ayant trouvé ma place, je m'agenouillais devant les clients attendant le président et les divertissais avec des pipes crues pour tuer le temps. Une fois habituée à la vie des hommes, je suis devenue une femme fatale habile, n'hésitant pas à dévoiler ma peau pour les faire taire. Le président autocrate avait entendu les rumeurs et m'avait convoquée. J'ai donc dû enfiler de la lingerie sexy et jouer le rôle d'une secrétaire extrêmement obscène qui assouvit ses désirs sexuels, implorant une pénétration dans le bureau du président en pleine journée, prouvant ainsi ma loyauté envers l'entreprise…